Les dosages MyCare Psychiatrie offrent plus de clarté
Les dosages MyCare permettent d’obtenir rapidement de l’information objective, et, lorsqu’ils sont utilisés conjointement avec d’autres renseignements cliniques, ils peuvent vous aider à prendre des décisions thérapeutiques plus éclairées et améliorer la prise de décision par le médecin, en collaboration avec le patient.
Les dosages MyCare offrent plus de clarté afin d’aider les professionnels de la santé mentale à prendre des décisions thérapeutiques en se basant sur des données objectives. Cette information peut aider à déterminer quel est le bon médicament à administrer à un patient, et à quelle dose.
Chez quels patients les dosages MyCare Psychiatrie sont-ils bénéfiques?
Les fournisseurs de soins souhaitent que des dosages soient effectués régulièrement chez les patients qui pourraient en bénéficier, par exemple dans les cas suivants :
- Non-observance soupçonnée
- Inefficacité du traitement
- Effets secondaires indésirables
- Lors d’un traitement par un médicament injectable à longue durée d’action, afin de s’assurer que les concentrations médicamenteuses sont optimales tout au long du cycle de traitement
- Traitement associant de multiples médicaments
- Médicaments pour lesquels les concentrations sanguines doivent être mesurées
- Nécessité de modifier le traitement
- Pour établir les valeurs initiales chez un patient
Études Cliniques
Il existe de nombreuses publications concernant la valeur et l’importance de la mesure des concentrations de médicaments antipsychotiques afin de faciliter la prise en charge du traitement médicamenteux, les évaluations cliniques et le dépistage des causes d’un échec thérapeutique.
Soutien pour la pharmacovigilance thérapeutique
RÉSUMÉ
Therapeutic drug monitoring of antipsychotics (Pharmacovigilance thérapeutique dans l'utilisation d'antipsychotiques)
Perry PJ. Therapeutic drug monitoring of antipsychotics. Psychopharmacol Bull. 2001;35(3):19-29.
La pharmacovigilance thérapeutique des antipsychotiques conventionnels et atypiques comporte de nombreux avantages cliniques, notamment une réduction des coûts, un risque moindre de toxicité et une meilleure adhésion au traitement. De ces médicaments, l'halopéridol, l'olanzapine et la clozapine ont fourni, lors d'études, les données les plus convaincantes pour justifier cette pratique. Bien que des données étayent l'utilité d'une surveillance régulière de la quantité de clozapine et d'olanzapine dans le sang, aucune donnée similaire n'existe pour les antipsychotiques atypiques, dont la rispéridone ou la quétiapine. Par ailleurs, l'utilité de la pharmacovigilance thérapeutique est renforcée par l'arrivée éventuelle de nouveaux schémas posologiques pour l'halopéridol, l'olanzapine et la clozapine.RÉSUMÉ
The Role of Antipsychotic Plasma Levels in the Treatment of Schizophrenia (Le rôle du taux plasmatique d'antipsychotiques dans le traitement de la schizophrénie)
Horvitz-Lennon M, Mattke S, Predmore Z, Howes OD. Am J Psychiatry. 2017 1;174(5):421-426
Dans cet article, nous passons en revue les conditions cliniques dans lesquelles le taux plasmatique d'antipsychotiques pourrait être utilisé pour orienter la prise en charge des patients qui sont atteints de schizophrénie et qui présentent une faible réponse ou une faible tolérance à ces médicaments – des patients dont la prise en charge est largement empirique pour le moment. Nous traitons d'abord des causes possibles expliquant les difficultés thérapeutiques et du rôle du taux plasmatique d'antipsychotiques dans la détermination de la véritable cause. Nous formulons ensuite des recommandations fondées sur les données probantes quant à l'utilisation du taux plasmatique d'antipsychotiques, puis terminons par une analyse des aspects pratiques.
RÉSUMÉ
Hiemke C, Bergemann N, Clement HW, et al.Pharmacopsychiatry. 2018;51(1-02):9-62.
La pharmacovigilance thérapeutique est la quantification et l'interprétation de la concentration sanguine d'un médicament dans le but d'optimiser la pharmacothérapie. Elle tient compte de la variabilité pharmacocinétique d'une personne à l'autre et permet donc une personnalisation de la pharmacothérapie. En psychiatrie et en neurologie, les enfants et les adolescents, les femmes enceintes, les patients âgés, les personnes présentant une déficience intellectuelle, les patients aux prises avec un trouble d'usage de substances, les patients en psychiatrie criminelle et les patients qui présentent des anomalies pharmacocinétiques connues ou soupçonnées pourraient grandement bénéficier de cette pratique. L'absence de réponse à une dose thérapeutique, l'adhésion incertaine au traitement, la tolérance sous-optimale ou les interactions médicamenteuses pharmacocinétiques sont des indications typiques de la pharmacovigilance thérapeutique. Les avantages potentiels de cette pratique dans l'optimisation de la pharmacothérapie ne peuvent toutefois être obtenus que si la méthode est bien intégrée au traitement clinique. Pour donner aux médecins traitants et aux laboratoires des informations valides sur la pharmacovigilance thérapeutique, le groupe de travail Arbeitsgemeinschaft für Neuropsychopharmakologie und Pharmakopsychiatrie (AGNP) a publié en 2004 ses premières lignes directrices sur l'utilisation de cette pratique en psychiatrie. Après une mise à jour en 2011, le moment était venu pour une nouvelle actualisation. Le respect de ces lignes directrices peut améliorer la neuropsychopharmacothérapie, accélérer le rétablissement de nombreux patients et réduire les coûts en soins de santé.
RÉSUMÉ
Antipsychotic plasma levels in the assessment of poor treatment response in schizophrenia (Utilisation du taux plasmatique d'antipsychotiques dans l'évaluation d'une faible réponse au traitement contre la schizophrénie)
McCutcheon R, Beck K, D'Ambrosio E, et al. Acta Psychiatr Scand.2018;137(1):39-46
Objectif : La résistance au traitement est un obstacle dans la prise en charge de la schizophrénie. Il n'est pas toujours clair si une réponse incomplète est due à l'inefficacité du médicament, à une sous-exposition en raison d'une mauvaise adhésion au traitement ou encore à des facteurs pharmacocinétiques. Nous nous sommes intéressés à la prévalence des taux plasmatiques d'antipsychotiques sous-thérapeutiques chez des patients jugés résistants au traitement par leur médecin traitant.Méthodologie : Entre janvier 2012 et avril 2017, le taux plasmatique d'antipsychotiques a été mesuré chez 99 personnes qui avaient reçu un diagnostic provisoire de schizophrénie résistante au traitement par leur médecin traitant, mais à qui on n'avait jamais prescrit la clozapine. Les patients ont été suivis pour savoir s'ils avaient été admis à l'hôpital par la suite.
Résultats : Parmi les taux plasmatiques d'antipsychotiques mesurés, 35 % étaient sous-thérapeutiques et parmi ceux-ci, 34 % étaient indétectables. L'origine ethnique noire (p = 0,006) et une faible dose (p < 0,001) étaient associées de façon significative à un taux plasmatique d'antipsychotiques sous-thérapeutique ou indétectable. Les personnes présentant un taux sous-thérapeutique ou indétectable étaient significativement plus susceptibles d'être admises à l'hôpital (p = 0,02).
Conclusion : Une portion significative des patients jugés résistants au traitement avait un taux plasmatique d'antipsychotiques sous-thérapeutique, ce qui est associé à un risque d'hospitalisation. Des taux plasmatiques d'antipsychotiques sous-thérapeutiques conduisent à penser qu'il est préférable d'évaluer l'adhésion au traitement ou les facteurs pharmacocinétiques plutôt que d'amorcer un traitement par la clozapine. Bien que la mesure du taux plasmatique d'antipsychotiques ne soit pas recommandée lors de l'ajustement posologique normal, elle pourrait faciliter l'évaluation d'une possible résistance au traitement chez les patients atteints de schizophrénie.
RÉSUMÉ
Plasma levels of second-generation antipsychotics and clinical response in acute psychosis: A review of the literature (Taux plasmatique d'antipsychotiques de deuxième génération et réponse clinique chez les patients présentant un épisode psychotique aigu : revue de la littérature)
McCutcheon R, Beck K, D'Ambrosio E, et al. Acta Psychiatr Scand.2018;137(1):39-46
Objectif : L'objectif de l'étude était d'évaluer la relation entre le taux plasmatique d'antipsychotiques de deuxième génération et les issues cliniques afin d'établir la valeur clinique de la pharmacovigilance thérapeutique.Méthodologie : En avril 2012, nous avons interrogé les bases de données PubMed et MEDLINE pour trouver des articles rédigés en anglais en utilisant les mots clés « risperidone », « olanzapine », « quetiapine », « aripiprazole », « ziprasidone », « paliperidone », « iloperidone », « asenapine », « lurasidone », « therapeutic drug monitoring », « serum level » et « plasma level ». À l'issue de cette première recherche, 191 articles ont été recensés. Les études sélectionnées devaient chercher à établir une corrélation entre le taux plasmatique d'antipsychotiques et des indicateurs d'efficacité, être prospectives et porter sur des patients présentant une exacerbation aiguë d'une maladie psychotique. Au terme du processus de sélection, 11 articles ont été retenus.
Résultats : Parmi les neuf substances faisant partie des termes de recherche, seulement quatre étaient abordées par les articles retenus, et seulement deux ont fait l'objet de plus d'une étude. Nous n'avons relevé aucune étude portant sur les substances les plus récentes (palipéridone, ilopéridone, asénapine et lurasidone). Les plans variaient grandement selon les études, et seulement quatre études reposaient sur une posologie fixe. Les résultats variaient considérablement d'une étude à l'autre quant aux effets cliniques et indésirables; 6 des 11 études révélant une corrélation positive entre le taux plasmatique d'antipsychotiques et la réponse au traitement.
Conclusion : L'utilité de la pharmacovigilance thérapeutique pour les antipsychotiques de deuxième génération (hormis la clozapine) demeure indéterminée, même si quelques données provenant d'études reposant sur une posologie fixe sont encourageantes. Nous analysons la valeur clinique potentiellement significative du taux plasmatique d'antipsychotiques et soulignons la nécessité de mener davantage d'études sur ce sujet.
Études sur l’échec thérapeutique
RÉSUMÉ
Accuracy of Clinician Assessments of Medication Status in the Emergency Setting: A Comparison of Clinician Assessment of Antipsychotic Usage (Exactitude de l'évaluation de la prise de médicaments par les cliniciens au service des urgences : comparaison de l'évaluation de l'utilisation d'antipsychotiques par les cliniciens)
Lopez LV, Shaikh A, Merson J, Greenberg J, Suckow RF, Kane JM. JClin Psychopharmacol. 2017;37(3):310-314.
Cette étude visait à déterminer le degré de concordance entre les évaluations, effectuées par les cliniciens, de la prise de médicaments et du taux plasmatique d'antipsychotiques fréquemment prescrits chez les patients se présentant aux urgences en raison d'un épisode psychotique.
Méthodologie : Nous avons étudié 105 patients s'étant présentés au service des urgences, ayant été admis à l'unité de psychiatrie, présentant un diagnostic de schizophrénie, de trouble schizoaffectif, de trouble bipolaire de type I ou de trouble psychotique non précisé, et suivant un traitement par la rispéridone, l'olanzapine, la quétiapine, l'aripiprazole ou la palipéridone. Un échantillon a été prélevé et envoyé à un laboratoire spécialisé pour mesurer le taux plasmatique d'antipsychotiques.
Résultats : Parmi les 97 patients chez qui un échantillon utilisable a été prélevé, 33 (34 %) avaient un taux plasmatique d'antipsychotiques dans la plage thérapeutique. Parmi eux, et de l'avis du personnel des urgences, 22 prenaient leurs médicaments selon les directives et 11 ne les prenaient pas du tout. Dans l'ensemble, 64 patients avaient un taux plasmatique d'antipsychotiques sous-thérapeutique, et pour 31 d'entre eux, le personnel avait déterminé qu'ils prenaient leurs médicaments comme il se doit. L'évaluation par le personnel des urgences de la prise de médicaments était un facteur prédictif d'un taux plasmatique d'antipsychotiques se situant dans la plage thérapeutique dans 41,5 % des cas et d'un taux sous-thérapeutique dans 75 % des cas. Cette évaluation était statistiquement indépendante de la probabilité d'un taux plasmatique d'antipsychotiques se situant dans la plage thérapeutique.
Implications : Chez les patients qui se présentent au service des urgences en raison d'un épisode de psychose et qui sont admis à l'hôpital, les évaluations de la prise de médicaments sont souvent trompeuses. Des méthodes facilement accessibles permettant de mesurer rapidement le taux plasmatique d'antipsychotiques en contexte clinique sont nécessaires pour que les cliniciens puissent faire des évaluations plus justes.
RÉSUMÉ
Partial Compliance with Antipsychotics (Adhésion partielle aux antipsychotiques)
Kozma CM, Weiden PJ. Am Health Drug Benefits. 2009;2(1):31-8.
Objectif : Déterminer la relation entre l'adhésion partielle aux antipsychotiques et les hospitalisations en psychiatrie chez les patients atteints de schizophrénie dont la maladie est prise en charge. Plan de l'étude : Nous avons réalisé une évaluation rétrospective de 1499 patients ambulatoires ayant fait exécuter au moins une ordonnance d'antipsychotiques et ayant reçu un diagnostic de schizophrénie selon une base de données (PHARMetrics).
Méthodologie : Les patients ont été suivis pendant les 12 mois suivant leur première ordonnance d'antipsychotiques oraux.
Résultats : La cohorte dont la maladie était prise en charge avait un risque global d'hospitalisation de 5,9 % pendant le suivi.
Conclusion : Une petite diminution de l'adhésion au traitement par antipsychotiques est associée à une augmentation du risque d'hospitalisation.
RÉSUMÉ
Treatment adherence in schizophrenia: A patient-level metaanalysis of combined CATIE and EUFEST studies (Adhésion au traitement chez les patients schizophrènes : méta-analyse des études combinées CATIE et EUFEST à l'échelle du patient)
Czobor P, Van Dorn RA, Citrome L, Kahn RS, Fleischhacker WW, Volavka J, et al. Eur Neuropsychopharmacol, 2015;25(8):1158-66.
Le programme Clinical Antipsychotic Trials of Intervention Effectiveness (CATIE) portait sur un échantillon de 1493 patients atteints de schizophrénie chronique, tandis que l'European First Episode Schizophrenia Trial (EUFEST) portait sur un échantillon de 498 patients atteints de cette maladie. Nous avons combiné ces deux échantillons pour étudier les facteurs prédictifs de l'adhésion au traitement et leur corrélation. Nous présentons ici l'adhésion au traitement pharmacologique sur six et douze mois pour un sous-échantillon combiné de 1154 patients atteints de schizophrénie. Les données individuelles des patients ont été utilisées pour les analyses. Nous avons réalisé des régressions logistiques pour examiner les effets de la consommation de substances, de l'akathisie, du parkinsonisme, de la dyskinésie, l'hostilité et de la perception de l'adhésion au traitement. Les Résultats montrent qu'une faible adhésion au traitement est associée à la consommation de substances (p = 0,0003), à une plus grande hostilité (p = 0,0002) et à une mauvaise perception de l'adhésion au traitement (p < 0,0001). Par ailleurs, une faible adhésion au médicament à l'étude était associée à un arrêt précoce du traitement selon les données combinées. Ces Résultats mettent en lumière l'importance de réaliser régulièrement des évaluations et des interventions pour connaître la perception du patient et l'utilisation concomitante de substances, et pointent vers la pertinence d'établir une alliance thérapeutique.
RÉSUMÉ
Improving Antipsychotic Adherence Among Patients With Schizophrenia: Savings for States (Améliorer l'adhésion aux antipsychotiques chez les patients atteints de schizophrénie : une économie pour les États)
Predmore ZS, Mattke S, Horvitz-Lennon M. Psychiatr Serv. 2015;1;66(4):343-5.
Cette rubrique présente les conclusions d'une analyse visant à quantifier les économies nettes potentielles pour les États grâce aux interventions permettant d'améliorer l'adhésion aux antipsychotiques chez les patients atteints de schizophrénie. À l'aide d'un modèle financier fondé sur les données publiées, les auteurs ont estimé les coûts des soins médicaux directs et de la sollicitation du système judiciaire à l'échelle des États et du pays, et les ont comparés aux conclusions d'autres analyses économiques. Le modèle estimait un coût annuel de 21,4 milliards de dollars (en dollars de 2013) pour le programme Medicaid et les autres organismes étatiques destinés aux personnes schizophrènes. Selon les données portant sur une meilleure adhésion au traitement, celle-ci pourrait entraîner des économies annuelles nettes de 3,28 milliards de dollars pour les États, ou de 1580 dollars par patient par année. Les innovations visant à améliorer l'adhésion aux antipsychotiques chez les patients schizophrènes peuvent entraîner des économies substantielles pour les États, lesquels devraient donc envisager de réaliser les interventions qui ont démontré une augmentation de l'adhésion au traitement au sein de ce groupe de patients.
RÉSUMÉ
Treatment resistant or resistant to treatment? Antipsychotic plasma levels in patients with poorly controlled psychotic symptoms (Résistance au traitement ou non-adhésion? Utilisation du taux plasmatique d'antipsychotiques chez les patients dont les symptômes psychotiques sont mal maîtrisés)
McCutcheon R, Beck K, Bloomfield MA, Marques TR, Rogdaki M,Howes OD. J Psychopharmacol. 2015;29(8):892-897.
Une grande proportion des personnes atteintes de schizophrénie présentent une réponse inadéquate au traitement par antipsychotiques. Il n'est pas clair si cela s'explique par un taux plasmatique d'antipsychotiques sous-thérapeutique ou par l'inefficacité du médicament. L'objectif de la présente étude était de déterminer le taux plasmatique d'antipsychotiques dans un groupe de patients jugés résistants au traitement. Nous nous sommes aussi intéressés à la fréquence du suivi du taux plasmatique d'antipsychotiques dans la pratique clinique courante. Le taux plasmatique d'antipsychotiques a été mesuré chez 36 patients atteints d'une schizophrénie résistante au traitement de l'avis de leur médecin traitant. Parmi ces patients, 16 (44 %) avaient un taux d'antipsychotiques indétectable (19 %) ou sous-thérapeutique (25 %), et 20 (56 %) avaient un taux se situant dans la plage thérapeutique. Un taux plasmatique d'antipsychotiques sous-thérapeutique était associé de manière significative à l'origine ethnique noire, à un traitement actuel plus court et à la prise d'antipsychotiques autres que l'olanzapine et l'amisulpride. Les taux plasmatiques d'antipsychotiques ont été mesurés chez seulement un patient dans l'année précédant l'étude. Nous avons découvert que le tiers des patients jugés résistants au traitement avaient un taux plasmatique d'antipsychotiques sous-thérapeutique, ce qui semble indiquer qu'ils pourraient être sous-traités plutôt que résistants au traitement et qu'ils devraient donc faire l'objet d'une prise en charge différente. À l'heure actuelle, la mesure du taux plasmatique d'antipsychotiques pourrait être sous-utilisée.
Questions et réponses des patients
Vos patients auront sûrement des questions au sujet des dosages MyCare Psychiatrie. Cliquez sur les encadrés pour obtenir des suggestions de réponses à ces questions.
“À quelle fréquence les dosages seront-ils effectués?”
“Qui va m’expliquer les résultats de ces dosages?”
“Que ferez-vous avec les résultats?”
“Ce dosage est-il effectué afin de vérifier si je prends des drogues illicites?”